Daniel Barenboim dirige Mahler

En 55 années de collaboration avec les Berliner Philharmoniker, Daniel Barenboim n’avait encore jamais interprété Gustav Mahler. Il présente aujourd’hui deux pages tardives du compositeur autrichien, en commençant par l’Adagio très expressif de la Symphonie n° 10, demeurée inachevée. La même mélancolie douloureuse règne dans le Chant de la terre, une œuvre qui se situe à mi-chemin entre la symphonie et le cycle de lieder et que Mahler qualifia à l’époque de « chose la plus personnelle que j’aie faite jusqu’à présent. »

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